Certains héros sont
immortels. Ceux qui ont cru enterrer Hubert Bonisseur de la Bath sous
les décombres de la guerre froide en sont pour leur argent. Hubert,
plus connu sous son nom de code de OSS 117, après le succès des
romans de Jean Bruce, est revenu par grand écran interposé et son
interprétation ironique de Jean Dujardin. Il revient une seconde
fois, presque au premier degré cette fois, dans des aventures
écrites par Gihef et dessinées par Rinaldi. Dans « Tequila
Molotov pour OSS 117 », Hubert s'infiltre dans l'ambassade
russe de Mexico pour découvrir qui se cache derrière les
bandelettes portées par un mystérieux transfuge. Plaque tournante
vers Cuba, le Mexique grouille d'agents troubles. OSS 117 aura fort à
faire face à la belle et totalement nymphomane Anna Kousakova, au
perfide Piotr Pogossian et au musculeux Chimichanga, catcheur
mexicain au masque terrifiant. L'agent américain aux ascendances
françaises pourra cependant bénéficier de la complicité de Pilar
Tomez-Rojaz, aspirante espionne, bonne Mexicaine dans tous les sens
du terme. On retrouve dans cette BD distrayante tous les ingrédients
des romans : action, bagarre, humour et un soupçon d'érotisme.
Vintage, mais très réussi.
« OSS 117 »
(tome 1), Soleil, 11,95 €











Le premier est Frank Walker. En 1962, il débarque de sa campagne pour participer à un concours d'inventions au sein d'un parc à thème Disney. Il n'est pas retenu, mais une petite fille, Athena (Raffey Cassidy), lui donne un pin's, porte d''entrée vers Tomorrowland, une ville du futur. Début très spectaculaire du film, avec des décors à couper le souffle. Suite de l'histoire de nos jours. Casey Newton (Britt Robertson) vit près de la base de Cap Canaveral. Elle rêve d'aller dans les étoiles. Mais la plateforme de lancement est en plein démontage. Le cosmos ne fait plus rêver. Elle aussi découvre un pin's dans ses affaires. Mais il est beaucoup plus compliqué de rejoindre la ville du futur. Elle devra emprunter un passage secret élaboré par Franck (George Clooney), devenu adulte.