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dimanche 20 novembre 2022

Gastronomie - L’arrière-cuisine est à savourer

Bernard Thomasson est l’ami des grands chefs. Il suit depuis des années ces virtuoses des fourneaux. Une expertise qu’il a transformée en beau livre avec L’arrière-cuisine. Il y raconte les trucs des meilleurs. Des portraits de 25 chefs français avec, comme de bien entendu, des recettes qui vont avec. 

Parmi les signatures, Gilles Goujon, qui « dès son arrivée à Fontjoncousse dans l’Aude, et malgré les difficultés, s’attache à mettre en valeur le terroir qui l’entoure. » Et pour vous donner l’eau à la bouche, plongez dans la recette du paleron de veau en blanquette.

« L’arrière-cuisine », Herscher/Franceinfo, 25 €

jeudi 13 janvier 2022

Série Télé - Foodie Love sur Netflix passe par Montolieu dans l'Aude


Série télé. Isabelle Coixet fait partie des cinéastes espagnoles les plus brillantes. Elle s’est essayée à la série télé pour HBO. Cela donne Foodie Love, 10 épisodes qui sont disponibles gratuitement sur la plateforme Arte.fr. À Barcelone, deux célibataires cherchent l’âme sœur. 

Ils utilisent un site de rencontre qui joue sur leurs goûts culinaires. Le couple qui se forme partage plaisirs de la chair et bonne chère. 

L’épisode 8 les conduits à Montolieu dans l’Aude pour un week-end en amoureux qui, pour une fois, ne sera pas très gastronomique.

mercredi 27 janvier 2016

DE CHOSES ET D'AUTRES : Saveurs belges

belgique,ver,sauterelles,gastronomie,moulesUne semaine en Belgique : quatre kilos de plus. Le Belge aime la bonne chère et encore plus la partager. Invité chez des amis ou en famille, j'ai passé mon temps à manger. Des moules notamment. Des bestioles tendres et goûteuses, énormes, cuisinées nature avec beaucoup de légumes. Rien à voir avec les rachitiques espagnoles. Objectivement, dix moules belges valent en quantité une portion servie dans la région.
Après le classique, le bizarre. Chez ma belle-sœur, toujours en quête d'aventures gastronomiques, j'ai échappé heureusement aux graines germées dont elle parsemait il y a peu toutes ses préparations au grand désespoir de ses enfants. L'entrée restait assez étonnante, composée de poisson cru agrémenté de chips de gingembre. "Que des calories négatives" selon cette experte en nutrition allégée.
Le plat principal se révélait succulent, des pâtes bio passées au wok avec des morceaux de chorizo fort, des tomates cerise et une sauce à la crème de soja. Le pire arriva en guise de 'trou normand'. Alors que la discussion s'animait sur les malheurs du monde, la sœur de mon épouse sort du frigo deux coupelles de ce qui constitue selon elle l'avenir nutritionnel de la planète. Dans la première des vers, dans la seconde des sauterelles, l'ensemble frit. Ça croque sous la dent, n'a pas beaucoup de saveur et nécessite de grandes rasades de vin pour faire passer une sensation peu agréable. Sauf les vers de farine au petit arrière-goût de spéculoos.
Mange, c'est du Belge !

jeudi 27 février 2014

DE CHOSES ET D'AUTRES - Ces étoiles bien cachées


La dernière livraison du Guide Michelin regorge d'adresses étoilées. Dans la région, plusieurs restaurants sont distingués. Pourtant, les véritables pépites où l'on savoure bonheur culinaire et accueil chaleureux bénéficient rarement de cette publicité de prestige.
Durant mes années aveyronnaises, je n'ai jamais aussi bien mangé qu'à l'Hôtel du Centre de Baraqueville. Simple, rustique, copieux, pas cher. Et pas de chichis. Le potage, toujours compris dans le menu, était amené dans une grande soupière qui passait de table en table.
Quand j'étais en poste à Castelnaudary, le Bar de l'Industrie était devenu un second bureau tant l'accueil de Sabine, Philippe et Ali était chaleureux. Des endroits de ce genre, heureusement il en existe encore. Il faut les chercher, ne pas hésiter à pousser des portes inconnues.
Et il s'en crée même de nouveaux. Pour preuve dans mon village actuel, à Pollestres au sud de Perpignan, deux jeunes - Vincent et Sébastien - viennent de reprendre le bar du centre-ville, le Café du Midi, après trois longues années de fermeture. Un matin, je sirote mon café et le barman s'occupe en découpant des pommes de terre destinées à devenir les frites maison du plat du jour. Car le midi, ils proposent un menu tout compris, sans prétention mais qui ne déçoit jamais. Derrière les fourneaux, Sébastien le cuistot allie tradition et modernité. Comme le décor, peintures refaites à neuf mais avec aux murs de vieilles publicités émaillées pour des boissons du passé, un vélo rouillé et des pochettes de 33 tours. Eux, comme d'autres, ne figurent pas dans le Michelin mais ne déméritent pas.