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lundi 6 janvier 2025

Vidéo - “Borderlands”, film spectaculaire adapté d’un jeu vidéo


Les films tirés d’une franchise de jeu vidéo sont souvent décevants. Intrigue limitée, personnages stéréotypés : difficile de surprendre le spectateur. Même quand c’est un excellent réalisateur comme Eli Roth, maître de l’horreur et du gore, qui relève le challenge.

Borderlands offre son lot de scènes spectaculaires, de dialogues hilarants (merci Jack Black…) et de bastons infernales. Malgré tous les ingrédients, la mayonnaise ne prend pas. C’est divertissant, mais on éprouve des difficultés à s’enthousiasmer, s’enflammer pour un univers foisonnant mais déjà vu.

La sortie en vidéo chez M6 se décline en simple DVD, blu-ray ou boîtier steelbox avec blu-ray et version 4 k en ultra HD. Par contre, les amateurs de bonus seront déçus : pas la moindre nouveauté à se mettre sous la dent…

vendredi 12 février 2016

Cinéma : Les monstres de "Chair de poule" passent du papier au grand écran

chair de poule, letterman, jack black, horreur, stine
Pas loin de 200 histoires dans la collection, presque autant de monstres sortis de l'imagination de R. L. Stine : la collection "Chair de poule" a passionné (et terrorisé) des millions d'adolescents. Un succès planétaire qui a logiquement intéressé plusieurs producteurs américains. Tim Burton avait pris une option sur cet univers gentiment fantastique mais longtemps le projet est resté dans les cartons. Finalement l'univers des livres est enfin adapté au cinéma mais c'est Rob Letterman ("Monstres contre Aliens") qui réalise le film, centré sur le personnage de R. L. Stine. Il est interprété par le phénoménal Jack Black, toujours aussi comique malgré ses nombreuses apparitions dans des comédies formatées.



Comme les romans s'adressent aux adolescents, il est normal que le film soit lui aussi destiné aux teenagers américains. Même si les lecteurs de "Chair de poule" ont tous aujourd'hui plus de 30 ans, voire des cheveux blancs. Et pour plaire au plus grand nombre, le scénario utilise les ficelles classiques de la famille en deuil. Gale Cooper et son fils Zack (Dylan Minnette) débarquent dans la petite ville de Madison au fin fond des USA. Gale est la nouvelle proviseur adjointe du lycée. Lycée où Zack fait sa rentrée avec l'étiquette traumatisante du nouveau. Ils tentent de changer de ville pour oublier la mort, l'année dernière, du père et mari.
Monstres en liberté
Gale se consacre à son travail, Zack à sa voisine. Hannah (Odeya Rush), jolie brune piquante, est claquemurée chez elle. Son père ne veut pas qu'elle sorte. Elle ne se prive pas de désobéir, entraînant Zack dans des balades nocturnes étonnantes. Mais c'est rien à côté de la découverte de la bibliothèque du père d'Hannah. Ce sont les manuscrits des romans "Chair de poule". Ils sont cadenassés. Zack en ouvre un par erreur. L'abominable homme des neiges est immédiatement libéré et sème la panique en ville.
Un effet boule de neige, ce sont des centaines de monstres qui se déchaînent. Pour sauver la ville de Madison, Zack, Hannah, Stine et Champ (Ryan Lee) vont devoir multiplier les ruses. Si le début du film est typique des comédies juvéniles, rapidement les monstres viennent mettre une sacrée pagaille à l'ensemble. Des zombies aux nains de jardin en passant par un loup-garou et un lutin machiavélique, les effets spéciaux s'en donnent à cœur joie. L'humour est omniprésent. Par les gaffes de Champ, les répliques de Jack Black, les mimiques de certains monstres...
L'ensemble est un film d'une rare efficacité, mélange de Goonies et de Gremlins. Un spectacle familial par excellence.

mardi 20 mars 2012

BD - Jack Black, le Phénix des agents secrets imaginé par Ange et Khaled



Qui est Jack Black ? Agent mythique des forces spéciales anglaises, il est le héros d'une nouvelle série, toute en testostérones, signée Ange (scénario) et Khaled (dessin). De nos jours, en Ukraine, des terroristes récupèrent les souches d'une arme bactériologique. Jack Black intervient pour détruire les virus. Seul, il est débordé et froidement abattu. Fin de Jack Black. Du moins de celui-là. Car Jack Black c'est le nom générique du meilleur élément disponible dans les rangs des forces anglaises. Un de perdu, un de retrouvé... De plus il est amélioré avec des produits à côté desquels les dopants des sportifs font figure de placebo.
Ce premier album nous permet de faire connaissance avec le nouveau Jack, comprendre comment il est amélioré et surtout comment il va devoir tirer un trait sur sa vie normale. C'est très viril, manichéen et patriotique, mais dans la lignée des James Bond, Jason Bourne et Jack Bauer, les autres JB de l'imaginaire collectif mondial.

« Jack Black » (tome 1), Soleil, 14,30 €