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mardi 29 mars 2016

BD : Ludivine et les dessous de l'Histoire

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Les auteurs le précisent bien en cours d'album "On n'est pas dans Olivier Rameau". Conséquence, un gentil petit oiseau se fait dézinguer en plein vol et l'héroïne, Ludivine, passe le plus clair de son temps entièrement nue. Personne ne s'en plaint quand on sait que Dany est aux pinceaux. Il n'a pas son pareil pour dessiner des filles aux courbes rebondies et généreuses. Cette Blonde aux grands yeux bleus est pourtant une intellectuelle. Étudiante, elle se rend à la médiathèque pour mettre la touche finale à sa thèse sur l'influence du sexe sur le cours de l'Histoire. Mais un bug dans l'ordinateur la transporte dans le passé. Un périple imaginé par Erroc et Rodrigue. Avec les hommes préhistoriques, puis à Rome en passant par la France d'Henri IV, la jolie demoiselle aux idées féministes va se retrouver au cœur des événements. De la matière brute pour sa thèse car son sex-appeal n'est pas sans conséquences sur les réactions des grands de ce monde, de Napoléon à Jules César. Gai, débridé, sexy et bourré de jeux de mots : un album idéal pour passer un bon moment.
"Ludivine", Glénat, 14,50 euros

vendredi 16 mai 2014

DE CHOSES ET D'AUTRES - Voir ou être vu, le dilemme de Cannes

Le festival de Cannes, ses milliers de journalistes et dizaines de chaînes de télévision en direct chaque jour sont le miroir de notre société. Certains s'y rendent pour voir. D'autres pour être vus. A la base, les réalisateurs et les acteurs des films sélectionnés se partagent la vedette. Mais le barnum médiatique entraîne des centaines de personnes en mal de reconnaissance ou de gloire (même éphémère) à se donner rendez-vous sur la Croisette. Pas la peine de leur parler de l'œuvre de Turner (le peintre au centre du film de Mike Leigh) ou de la situation géopolitique de l'Afrique subsaharienne (Timbuktu, film coup de poing d'Abderrhamane Sissako). Non, l'unique appétit de ces festivaliers réside dans les invitations aux soirées et les meilleurs plans pour se montrer près des stars, les vraies.
On retrouve dans le lot l'ancienne candidate de téléréalité Ayem Nour qui a décroché une émission sur MCM, chaîne musicale du câble et du satellite. Pour se faire un peu de pub, mardi soir, elle arrive en Rolls-Royce et robe longue fendue dans la zone des photographes. Tellement fendue qu'en sortant de la voiture, les reporters immortalisent sa petite culotte, montrée en long en large et en travers. Et voilà comment on lance le premier buzz d'un festival toujours avide de chair fraîche. Voulu ou pas, cet incident de parcours permet à Ayem d'exister à Cannes, au moins le temps d'une journée et sans monter les marches.
Signe des temps ? Non. Rien de nouveau sous le soleil : les starlettes à l'époque bronzaient topless sur la plage pour attirer les regards des producteurs.