À Paris, au début du XXe siècle, les Apaches font la loi dans les faubourgs de la capitale. Mais le progrès les repousse de plus en plus loin du centre ville. Dans le cadre de travaux tous azimuts du tout nouveau métro, un homme masqué sème la terreur en assassinant des bourgeois.
L’inspecteur Gosselin va tenter de comprendre ce qui se cache derrière cette série de meurtres cruels qui s’apparentent plus à une vengeance qu’à de simples crapuleries. Un scénario documenté et plein de références signé Pelaez et dessiné par un Tiburce Oger très inspiré.
« L’enfer pour aube » (tome 1), Soleil, 15,95 €


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