Quelques chroniques de livres et BD qui méritent d'être lus et les critiques cinéma des dernières nouveautés. Par Michel et Fabienne Litout
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lundi 3 septembre 2018
Rentrée littéraire - Secret paternel dans "Le fou de Hind"
A la mort de son père, Moshin, Lydia découvre une lettre posthume. Ce père, immigré algérien, qu’elle a tant aimé, respecté, se traite de « misérable et de fou » ayant une mort sur la conscience. Ce premier roman de Bertille Dutheil a parfois des airs de polar. La jeune femme mène l’enquête pour découvrir la réalité de cette infamie dont s’accuse Moshin. Au gré des témoignages composant ce texte fort, on recule dans le passé, jusque dans ces années 60 où Moshin, avec d’autres familles vivait dans une maison communautaire. Sur les photos retrouvées dans les affaires du mort, Lydia repère une fillette. Une certaine Hind. La première fille de Moshin ?
Entre introspection personnelle, plongée dans les banlieues ouvrières parisiennes d’antan et histoire de l’immigration, « Le fou de Hind » surprend et interpelle le lecteur.
➤ « Le fou de Hind » de Bertille Dutheil, Belfond, 18 €.
mardi 5 avril 2016
DE CHOSES ET D'AUTRES : Messages codés

A moins que ce galimatias ne provienne du "Journal" lui-même, qui "décline toute responsabilité au sujet des abréviations qu'il est en droit de faire quand les textes lui sont remis avec plus de 36 lettres ou signes par ligne".
Toujours dans cette colonne, je découvre également des messages codés. Personne ne me fera croire que "Kbj sbsfnfou xu bvttj qpjsf rof upj." est l'abréviation d'une phrase écrite en français. On se trouve clairement en présence d'un langage chiffré, comme celui des espions des romans de gare.
Plus d'un siècle plus tard, comment savoir ce que "sbsfnfou" veut bien vouloir dire ? Excepté peut-être les décrypteurs professionnels, personne ne le saura jamais, les intéressés ont certainement emporté la clé du code dans leur tombe.
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