J'ai pourtant essayé à maintes reprises, avec le même résultat. A l'heure des nouvelles technologies j'ai tenté le smartphone. Inenvisageable également. Bref, cette expérience roumaine ne me paraît plus si appropriée. Par contre, je serais ravi que d'autres entreprises de transport récupèrent l'initiative. La SNCF par exemple. Dans un TGV, lire est un véritable plaisir. Même essentiel, car les trajets encore assez longuets sont souvent émaillés de retards imprévus. La prochaine fois que je « monte » à Paris, je promets de lire un roman en entier en échange d'un billet gratuit.
Sept heures de train correspondent à 300 pages (en comptant les quelques moments d'assoupissement aux passages les moins palpitants). Méfiance cependant pour les périples avec correspondance : vous avez toutes les chances de la rater si l'intrigue se révèle trop prenante.
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