Et si le sentiment de l'appartenance à l'Europe passait par la famille ? Grecs, Français, Allemands, Irlandais, nous sommes tous cousins. Parfois au centième degré, mais cousins quand même.
Selon les recherches de généticiens de l'université de Leicester en Angleterre, les deux-tiers des Européens modernes descendraient de seulement trois lignées paternelles remontant à l'âge du Bronze. Trois mâles dominants qui ont pris le dessus sur les autres, dispersant leur ADN au gré de leurs conquêtes. Trois "Adam" dont on retrouve l'empreinte partout en Europe.
Les généticiens anglais tablent sur trois chefs de tribu. Certains historiens adhèrent à la même théorie mais supputent que la majorité des Européens appartient à la lignée de Charlemagne, Gengis Khan et du moins connu Niall, Haut Roi d'Irlande du Ve siècle, à l'origine de la famille des Uí Néill, aujourd'hui O'Neill.
Et chacun de se demander s'il est plutôt issu d'un rejeton de l'empereur inventeur de l'école, du redouté pilleur originaire des steppes ou du mystérieux Irlandais.
Personnellement je me suis posé la question et comme une analyse de mes chromosomes Y reste trop coûteuse, je me suis rabattu sur les sites généalogiques.. Les Litout sont peu nombreux en France. Pas plus de quarante dans moins d'une dizaine de départements. Par contre pour le sentiment d'appartenance européenne je n'ai pas d'effort à faire. Litout viendrait de l'expression germanique Liet-Wulf, traduite par peuple-loup. Finalement mon patrimoine génétique s'apparenterait plutôt, non pas à Charlemagne mais au loup-garou.
Quelques chroniques de livres et BD qui méritent d'être lus et les critiques cinéma des dernières nouveautés. Par Michel et Fabienne Litout
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dimanche 28 juin 2015
jeudi 16 février 2012
Billet - La Saint-Valentin sur les réseaux sociaux : une orgie d'amour
Même des virus ont pris la sympathique forme d'une application à partager sur Facebook pour mettre votre profil aux couleurs de la Saint-Valentin (à dominante rose !). Ne succombez pas à ce bête excès de romantisme, vous le regretteriez...
Qui dit Saint-Valentin dit ébats amoureux. Une étude américaine nous apprend que chez les moins de 35 ans, la classique cigarette d'après l'amour est en train d'être détrônée par les réseaux sociaux. Ils sont 35 % à aller raconter leurs exploits, essentiellement depuis des smartphones. Saluons au passage le format de Twitter (140 signes maximum), idéal pour les éjaculateurs précoces.
Sur Twitter justement, le nouveau jeu à la mode est une petite application qui se charge de trouver votre âme sœur sur le réseau. Je l'ai testé et il ressort que @litout (moi, en l'occurrence) serait amoureux de... @lindependant (le compte du journal, mon boulot quoi). Ça semble complètement idiot, mais finalement mon épouse n'est pas loin de confirmer. A son grand regret, je passe beaucoup trop de temps à travailler.
Sur ce, je met un point final à cette chronique. J'ai un cadeau à trouver moi...
(Chronique "Ça bruisse sur le net" parue dans l'Indépendant du mercredi 15 février)
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