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vendredi 26 avril 2013

BD - Final explosif pour "Blue Estate" de Kalvachev

Speed et délirant, la quatrième et dernière partie de « Blue Estate », comics dirigé par Victor Kalvachev, ne décevra pas les fans de la série. Comme dans tout bon film au gros budget, le final doit être spectaculaire, détonnant et étonnant. Pas de tromperie sur la marchandise dans ces 80 pages qui claquent comme les coups de feu des différents gangs. Dans cette sombre histoire de cheval de course, de pari truqué, d'argent sale de la mafia, de sexe, d'héritage et de rivalité entre Italiens et Russes, c'est la police qui finalement tirera les marrons du feu. Il y aura également quelques rescapés parmi les différents protagonistes. Notamment les deux qui se dorent la pilule sur une plage des Caraïbes en couverture...
L'histoire est toujours l'œuvre de Victor Kalvachev avec la complicité d'Andrew Osborne au scénario. Par contre au dessin, c'est toute une équipe d'illustrateurs qui officie de concert. Des Américains (Johnson, Fox ou Valley) mais également deux petits français Aleksi Briclot et Kieran, déjà entraperçus dans « Spawn » et « We are the night ».
« Blue Estate » (tome 4), Ankama, 13,90 €

mardi 25 octobre 2011

BD - Blue Estate : les super truands selon Kalvachev chez Ankama

Les comics américain ce ne sont pas que des super héros. Il existe aussi toute une école qui prend racine dans le roman noir. « Blue Estate » est une idée originale de Victor Kalvachev. Une histoire de mafioso, de détective privé, de strip-teaseuse et de star du cinéma d'action. La star c'est Bruce Maddox, l'acteur vedette de la franchise « Traque mortelle ». Un dur, alignant les succès et les ennuis. 

Notamment quand sa femme, la belle Rachel, tente de savoir d'où viennent les milliers de dollars qu'il blanchit allègrement dans la production de ses navets. La mafia fait alors son entrée dans le casting, avec son cortège de cadavres et de kilos de poudre blanche. 

La violence généralisée est atténuée par l'humour permanent du récit. Ne pas se prendre au sérieux reste la meilleure façon de faire passer des idées...

« Blue Estate » (tome 1), Ankama, 13,90 €