Le vendredi, je vous l'ai dit, ma méchanceté n'a d'égale que mon humeur. Pourtant je devrais me réjouir de la diminution du nombre de touristes au kilomètre carré et du retour des enfants dans les salles de classes. Un tableau idyllique gâché par le matraquage sur les ondes, télévisions et journaux compris, du nouveau single de Johnny Hallyday. Contrairement aux dinosaures, dodos et autres tigres de Tasmanie, le Johnny H. est issu d'une espèce très résistante. Le plus célèbre exilé fiscal français vieillissant - 71 ans, un set de six ans d'avance sur Gégé Depardieu - jouit de quelques économies.
Quelques chroniques de livres et BD qui méritent d'être lus et les critiques cinéma des dernières nouveautés. Par Michel et Fabienne Litout
dimanche 7 septembre 2014
DE CHOSES ET D'AUTRES - Johnny au vitriol
Le vendredi, je vous l'ai dit, ma méchanceté n'a d'égale que mon humeur. Pourtant je devrais me réjouir de la diminution du nombre de touristes au kilomètre carré et du retour des enfants dans les salles de classes. Un tableau idyllique gâché par le matraquage sur les ondes, télévisions et journaux compris, du nouveau single de Johnny Hallyday. Contrairement aux dinosaures, dodos et autres tigres de Tasmanie, le Johnny H. est issu d'une espèce très résistante. Le plus célèbre exilé fiscal français vieillissant - 71 ans, un set de six ans d'avance sur Gégé Depardieu - jouit de quelques économies.
vendredi 18 novembre 2011
Billet - Allumer le feu
Être fan de Johnny Hallyday n'empêche pas d'être suicidaire. Un homme de 52 ans a failli mourir lundi dernier en mettant le feu à son canapé. Peut-être chantait-il à tue-tête « Allumer le feu ! » (1998) au moment de l'intervention des pompiers, prévenus par les voisins.
L'article de l'Est Républicain relatant ce fait divers précise que le suicidaire, « alcoolique notoire était surnommé Johnny dans le quartier en raison de sa propension à entonner à toute heure les tubes de son idole », n'en est pas à son coup d'essai. En juin dernier il avait déjà essayé de mettre fin à ses jours au gaz. Au son de « C'est du vent », chanson interprétée par son idole en 1989 ? Les voisins ne le savent pas, mais ils ont été soulagé d'apprendre que finalement Johnny se retrouve derrière « Les portes du pénitencier » (1964) pour trois mois après avoir été jugé en comparution immédiate. Son explication, « Je crois qu'il me rend fou » (1967) n'a pas convaincu les juges...
La surveillance sur le net se révèle de plus en plus efficace dans la prévention des suicides. Des résultats chiffrés par la police judiciaire : en 2010 il y a eu 181 interventions liées à de possibles tentatives.
Par contre le taux de suicide chez les adolescentes américaines risque de monter en flèche après le piratage massif de comptes Facebook. A quoi vivre après la découverte sur son mur d'une photo pornographique gay (un montage) de son chanteur préféré : Justin Bieber... pas Johnny Hallyday.

