Quelques chroniques de livres et BD qui méritent d'être lus et les critiques cinéma des dernières nouveautés. Par Michel et Fabienne Litout
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samedi 11 avril 2020
Série Télé - Au Nord, à « Fortitude », on ne vous entendra pas crier…
Bienvenue à Fortitude, ville la plus sûre du monde. Peut-être aussi la plus hostile car cette bourgade de 700 âmes est située sur le cercle polaire, à l’extrême nord de l’Europe, sur une île cernée par la banquise et infestée d’ours polaires. Réalisée en 2015 par les Anglais de Sky Atlantic, cette série joue à fond la coproduction. Des Danois, des Américains, pas mal de Britanniques et même une jolie Espagnole composent le casting de Fortitude dont la première saison est disponible sur Amazon Prime. Cela débute comme un thriller typique de ces contrées gelées. Un chercheur, en conflit avec la gouverneur de la ville qui veut absolument construire un hôtel dans le glacier, est retrouvé mort chez lui. Il baigne dans une mare de sang, le torse déchiqueté. Si la police pense dans un premier temps à une attaque d’ours, en enquêtant a minima, les suspects sont légion. Le pilote d’hélicoptère, ancien marine américain ? Le jeune chercheur anglais récemment arrivé à la base ? La serveuse du café, brune espagnole piquante qui émoustille tous les blonds de Fortitude (il y en a un paquet) qui ne savent pas qu’elle a déjà fait de la prison pour meurtre ? Ou le responsable de la sécurité de la mine russe ?
Beaucoup de fausses pistes et finalement un basculement dans le fantastique, avec des relents de pandémie, comme pour nous rappeler que les virus, il y en a des milliers qui n’attendent que la fonte des glaces pour déferler sur l’Humanité. Les 11 épisodes de cette première saison sont un peu lents parfois, mais on reste scotchés face aux images tournées sur les glaciers et autres montagnes balayées par des vents violents alors qu’il fait - 30°. Et vu les stalactites accrochées aux barbes des comédiens, ce n’était pas du trucage.
vendredi 16 décembre 2016
De choses et d'autres : Vortex polaire

Ce n’est pas pour rien qu’elle a décidé de changer toutes les fenêtres de notre vieille maison. Les chambranles en bois, après des années de bons et loyaux services, ont abdiqué face à l’infatigable tramontane qui ne se prive pas de venir nous frigorifier les pieds en pleine nuit, malgré de grosses couettes. Ils céderont leur place courant février à des cadres en PVC, construits sur mesure dans l’usine d’« Arts et fenêtres » dans la Sarthe. Le chantier devrait durer environ une semaine.
Avec notre veine, ce sera pile au moment où le premier vortex polaire déferlera sur la région. Et le premier qui me parle de réchauffement climatique, je l’envoie illico dans le Manitoba.
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