Le suicide suspect d'une jeune femme et la découverte du corps d'un Africain, emballé dans du film plastique alimentaire dans un caveau vide. Cérisol gère ses collègues avec leurs humeurs, du vieux bougon proche de la retraite à la la jeune diplômée, à cheval sur l'égalité hommes-femmes.
Sans oublier sa vie de famille. Il file le parfait bonheur avec une aveugle, toujours joyeuse. Jusqu'au jour où. Écriture fluide, portraits fouillés, réflexions et problématiques très actuelles : ce polar est avant tout un grand roman.
« Le bruit de nos pas perdus », Benoît Séverac, 10/18, 336 pages, 8,90 €

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