jeudi 20 juillet 2017

Cinéma : L’été rime avec avant-premières dans la région

Comment avoir l’air plus au courant des nouveautés cinéma que la moyenne ? Facile, il suffit de voir un film en avant-première et de pouvoir ainsi en parler avant tout le monde. En cet été, elles seront nombreuses. En voici une liste élaborée mi-juillet et donc encore susceptible d’être enrichie dans les prochaines semaines.
En dehors des classiques projections du mardi soir, soit la veille de la sortie nationale (Valérian le 25 juillet ou Atomic Blonde le 15 août au Méga CGR Rivesaltes) les enfants sont à la fête avec des séances dans quasi tous les multiplexes de la région des As de la Jungle (le dimanche 23 juillet) et de Cars 3 (les 23, 24 et 25 juillet pour une sortie le 2 août). Toujours pour les enfants, mais uniquement au Cap Cinéma de Carcassonne pour l’instant, une projection de « Ho-Kaï Watch, le film », le dimanche 6 août.
Au Méga CGR de Rivesaltes, pour les fans de courses poursuites, « Overdrive » le 14 août avec Scott Eastwood en vedette.


Le Castillet de Perpignan, fidèle à sa politique de proposer des œuvres de qualité, organise trois avant-premières en août de films vus et remarqués au dernier festival de Cannes. « Patti Cake$» (mardi 15 août à 21 h 15) raconte la vie d’une jeune fille (Danielle Macdonald, photo ci-dessous) passionnée de slam et tentant de percer dans ce milieu. Une superbe comédie, entre chronique sociale et comédie musicale. « Faute d’amour » de Andrey Zvyagintsev, Prix du Jury au dernier festival de Cannes, sera le rendez-vous à ne pas manquer des cinéastes le mardi 22 août à 19 h 15. Enfin « Un beau soleil intérieur », film de Claire Denis avec Juliette Binoche sera à dé- couvrir le mardi 29 août à 19 h 15 avant sa sortie nationale un mois plus tard.
Plus loin dans le temps, le 1er septembre, « Coexister » sera diffusé au CGR de Narbonne. Cette comédie de Fabrice Eboué Avec Ramzy Bédia, Guillaume De Tonquédec, Audrey Lamy ou Jonathan Cohen raconte les déboires d’un « producteur de musique à la dérive qui décide de monter un groupe constitué d’un rabbin, un curé et un imam afin de leur faire chanter le vivre-ensemble. Mais les religieux qu’il recrute sont loin d’être des saints » selon le synopsis diffusé par la production. 

Article paru le 20 juillet dernier dans l'Indépendant. 

Aucun commentaire: