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jeudi 11 avril 2024

Un roman français - Refuge au crépuscule


Étonnant voyage dans le temps et l’espace proposé par Grégoire Domenach dans son roman Refuge au crépuscule. Le personnage principal, Gaspard, jeune photographe français, va accepter d’aller au Kirghizstan réaliser un livre de photos pour un inconnu rencontré à Istambul.

Ensemble ils vont sillonner ce pays secret ainsi que le Kazakhstan « dans ce décor de lieux sauvages et reculés, entre steppes et montagnes. » Grégoire Domenach sera à Perpignan le 11 avril à partir de 19 heures à la librairie Torcatis pour une rencontre lors d’une soirée aux couleurs de l’Asie.

« Refuge au crépuscule » de Grégoire Domenach, Christian Bourgois Éditeur, 318 pages, 22 €

jeudi 3 novembre 2016

De choses et d'autres : La confession d'Askolovitch

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Le titre de son papier publié hier matin sur Slate.fr prend des airs de confession : « Invité par Sarkozy, j’ai écrit la pire merde de ma carrière ». Claude Askolovitch, journaliste politique, fait plus que se flageller, il se renie en bloc, quand il pensait être important (rédacteur en chef du Journal du Dimanche) et acceptait d’être traité comme un VIP.
« En 2008, raconte-t-il dans l’article, l’Élysée me propose de venir au G20, pas comme journaliste accrédité presse, dans les bétaillères de l’information, mais directement dans Air Sarko One, pour un périple embedded. » Catalogué à gauche, Askolovitch qui travaillait à l’Obs, est passé à la concurrence en 2007, chez Lagardère.
S’il se dénigre aujourd’hui, huit ans après le « crime », c’est en raison du lynchage par l’émission de Yann Barthès de Nicolas Domenach. Cet autre journaliste politique a couvert le voyage africain de Manuel Valls dans la dé- légation officielle. Résultat, le papier de Domenach, selon Askolovitch, « n’est pas un reportage : c’est une tautologie sur la com’vallsienne. » Mais il n’est pas de ceux qui hurlent avec les loups. Car il est déjà passé par là. Depuis il a rompu les ponts : « Quand je m’approcherai à nouveau d’un grand politique, ce sera dans une distance étrange, dépressive », reconnaît-il. Et d’expliquer ce qui devrait être une ligne de conduite pour tous les journalistes, « je me vaccine contre les mignardises. »