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vendredi 28 juin 2024

Un roman jeunesse - Oncle Kid en Corse


 Le meilleur des espions est de retour. Oncle Kid, après une première aventure mouvementée, se retrouve en Corse en compagnie de ses neveux, Juliette et Ulysse. Oncle Kid rapidement kidnappé par les méchants de la Firme. Victor Pouchet multiplie les situations cocasses avec cet espion finalement très calamiteux et par chance épaulé par deux enfants très futés.

Les illustrations de Killoffer rendent encore plus tonitruantes les interventions de quelques spécialités corses comme des chèvres, un berger, des sangliers et du fromage qui pourrait bien se transformer en menace pour la planète !

« Oncle Kid - O comme otage, K comme Corsica », l’École des Loisirs, 72 pages, 8 €

vendredi 26 janvier 2024

Un album jeunesse : La coccinelle sans ses points

Catastrophe. La petite coccinelle Vibidia vient de perdre deux points sur son permis de voler. Des points, elle n’en a que 12. Pourtant, le petit insecte, tout occupé à aller manger sa gourmandise préférée, de « l’oïdium, une moisissure blanche » qui colonise les feuilles des arbres, ne marque pas un stop et vole à contresens.

Résultat, les 12 points blancs qui ornent ses petites ailes rouges sont effacés par la « Coccinelledarmerie nationale ». Mais comment se nourrir quand on ne peut plus voler ? Ce petit conte écrit par Pascal Parisot est illustré par Marc Boutavant, plus connu pour avoir imaginé le célèbre Chien Pourri.

« Vibidia, la coccinelle super inquiète », L’École des Loisirs, 64 pages, 7,50 €

jeudi 23 juillet 2015

DE CHOSES ET D'AUTRES - Massacre à la tapette

La campagne, son calme, ses charmes insoupçonnés. La faune variée et omniprésente entre autre. Dans le petit village rural où nous sommes partis en villégiature, mon épouse et moi, si beaucoup d'humains n'y résident plus à l'année, les animaux eux sont légion. Trois chiens bruyants (et méchants) gardent l'entrée du hameau. Quelques ânes quémandent une carotte. Dans une étable, un troupeau de vaches attend la traite. Autour des ruminants, des mouches. Des dizaines, des centaines, des milliers de mouches. Voilà bien une bestiole très loin de l'extinction. A chaque repas, elles se délectent des mets déposés sur la table installée dans la cour du presbytère. Après avoir envisagé de rédiger un traité sur les préférences culinaires de ces insectes (confiture et miel se disputent la première place suivis par melon, charcuterie et sodas, sauf les lights), j'ai pris le taureau par les cornes. Plus exactement je me suis armé d'une tapette et commencé le carnage. Au début, je les ratais toutes. Au troisième repas, je parvenais à décimer 80 % du cheptel en moins de cinq minutes. Mais tel le rocher de Sisyphe, une nouvelle génération spontanée réapparaissait dix minutes plus tard. Un second génocide nous apportait quelques instants de paix, avant une nouvelle attaque de ces kamikazes ailés. De cette semaine de farniente, je ramènerai surtout une dextérité indéniable dans le maniement de la tapette. Et s'il existait un championnat régional de chasseur de mouches, je suis certain d'y faire bonne figure.