Personne ne le sait, mais sous New York se trouve une ville magique. Under York est le refuge de tous les sorciers et magiciens de la planète. Un monde imaginé par Sylvain Runberg et dessiné par la virtuose italienne Mirka Andolfo.
Le premier tome nous permettait de découvrir cette ville cachée et les différents clans magiques (Irlandais, Amérindiens, Chinois…). Le second nous plonge au cœur de l’action. La jeune Aloson, a renié ses origines magiques. Elle a mal utilisé une formule et provoqué la mort de sa meilleure amie. Depuis elle a rejoint la surface et vivote comme artiste. Mais elle va devoir redécouvrir ses pouvoirs face à une menace venue du fond des âges. Marduk, entité maléfique, s’est libéré. Il a pris possession du corps du petit frère d’Alison et a pour ambition de contrôler New York. Il va s’attaquer à la finance puis à la police. Cette série graphiquement époustouflante, vaut aussi par le message relayé par l’héroïne : tout pouvoir ne doit pas être utilisé pour soi-même mais pour le bien de toute la communauté.
Pas de magie dans le monde des « Enfants de la colère », imaginé par Damian, scénariste barcelonais et dessiné par Nico Naranjo de Madrid.
Dans un futur apocalyptique, la Confédération des États du Nord, un petit peu dictatoriale, tente de mater la Résistance. Deux camps qui s’affrontent par l’intermédiaire de grands robots sur armés, des Mécas. Pour la Résistance, les meilleurs pilotes se trouvent parmi les enfants. On suit dans ce second tome le dernier combat pour la liberté. Des bagarres dantesques où le mouvement et les explosions doivent beaucoup à l’imagerie manga.
« Les chroniques d’Under York » (tome 2), Glénat, 16,90 €
« Les enfants de la colère » (tome 2), Ankama, 14,90 €
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