Ou du moins de faire comprendre aux plus petits que l’école débute toujours à la même heure, qu’il ne faut pas rater le début. Et que par ailleurs, le soir, le temps n’est toujours pas extensible et que les histoires avant de dormir doivent être… courtes.
Un album complété par un texte très instructif de Déborah d’Hostingue, psychologue et thérapeute.
« Allez, on y va », Amélie Graux, Les Arènes Jeunesse, 44 pages, 13,90 €
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