Nouvelle version de la fin du monde. Christophe Bec, scénariste, délaisse les effets du réchauffement climatique pour s’intéresser aux effets d’une aurore boréale. Durant 24 heures, la terre est sous influence. 222 000 enfants naissent ce jour-là.
Une vingtaine d’années plus tard, les enfants de l’Aurore semblent se réveiller, se connecter et agissent tous de concert. Le second tome de Aurora (Soleil, 64 pages, 15,95 €) de cette trilogie dessinée par Stéfano Raffaele, poursuit la présentation des différents portraits d’enfants. Du fils d’un multimilliardaire à l’intelligence hyperdéveloppée à l’orphelin d’une favela, expert en foot et immunisé contre toutes les maladies en passant par le militaire, sniper d’élite.
Une seule semble différente, la dernière de la lignée, celle qui est née le plus au sud. Elle n’entend pas l’appel mais comprend ce qui se trame. Car ces enfants devenus adultes n’ont qu’une mission : exterminer la race humaine. C’est donc un album d’une rare violence (il y a plusieurs références au film American Nightmare) qui est proposé aux amateurs de science-fiction. Reste à découvrir qui manipule les 222 000 enfants de l’Aurore.
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