Tony Corso délaisse la Côte d'Azur le temps d'un album pour retourner dans la ville de son enfance : Rome. Il reçoit un appel au secours de son pote Madgid. Ce photographe de presse s'est retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Il a assisté à l'assassinat d'une star montante du foot. Le réflexe professionnel a voulu qu'il photographie la scène.
Depuis il a aux trousses ce qui se fait de plus méchant dans la mafia locale. Il se cache et demande à son pote Tony de le tirer de ce mauvais pas. Corso va imaginer, en quelques heures, un plan qui devrait permettre à Madgid de s'en tirer. Mais c'était sans compter avec la réapparition de vieux fantômes de son enfance. Olivier Berlion, dans cette histoire intitulée « Vendetta », lève un voile sur le passé de son héros. A peine âgé de 10 ans, il assisté à l'assassinat de sa mère par un tueur à gages.
Ce passé va interférer avec l'enquête actuelle, transformant ces 56 pages en un règlement de compte non prévu mais définitif.
« Tony Corso » (tome 5), Dargaud, 10,40 € (L'intégrale des quatre premières aventures de Tony Corso vient de paraître, 220 pages, 18 €)
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