Le deuxième tome du cycle Antarès de Léo est paru en février dernier. Je ne sais pourquoi, il est resté longtemps dans un coin, sans que je n'y touche. D'habitude, je me précipite sur les albums des Mondes d'Aldébaran tant l'univers de cet auteur brésilien me passionne. Le redécouvrant presque, je me lance dans la lecture. Et les premières pages me déçoivent. Kim, en compagnie de sa fille, est dans un vaisseau qui part coloniser Antarès.
Des pages oppressantes, en huis clos, où les voyageurs appartiennent à une secte très stricte sur les apparences vestimentaires. Bref, je met du temps à accrocher. Comme d'habitude, l'émerveillement intervient quand Kim touche le sol de cette planète inconnue. Et que les animaux et plantes locaux font leur apparition. Fleurs géantes, panthères à 6 pattes, dragon volant, gros concombres de mer affamés : on n'est pas déçu. D'autant que Kim , en compagnie d'un petit groupe de rescapés, se retrouve isolée au coeur de la planète. Des milliers de kilomètres les séparent du camp de base. Des milliers de dangers aussi...
Mais ce sera pour le prochain album. Le cycle est prévu en cinq tomes. Cela fera un total de 15 titres. Une oeuvre foisonnante qui remporte un succès mérité.
« Antarès » (2), Dargaud, 10,40 €
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