Tout avait débuté comme dans un rêve merveilleux. Doug, jeune trader londonien, est sélectionné pour occuper le meilleur job du monde : garder durant six mois une villa luxueuse sur une île tropicale au large de l'Australie. Le premier tome racontait son arrivée sur l'île et ses premiers émois. Il découvre une vieille K7 vidéo et une pièce secrète. Dans cette villa, il y a quelques années, un ancien nazi a mené des expériences abominables sur des femmes. Le second tome va crescendo dans l'angoisse. Terminée l'image paradisiaque des cocotiers et du sable blanc. La nuit, des fantômes tentent de pénétrer dans la villa et Doug a de plus en plus l'impression d'être observé. Il va même tenter de quitter l'île. En vain. Christophe Bec, scénariste prolifique en cette rentrée 2013, n'a pas son pareil pour planter une ambiance de peur. Fonteriz, dessinateur espagnol, assure, par un trait réaliste solide et efficace, la seconde couche de cette histoire à ne pas lire le soir en s'endormant sous peine de sommeil agité.
« Le meilleur job du monde » (tome 2), Soleil, 13,95 €
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