Les effets spéciaux spectaculaires, mais les morts bien réels. Personnage principal de l'histoire, le capitaine Kataoka. Ce gradé ambitieux, a travaillé à la mise au point de la « Mère ». Il est persuadé d'en prendre le commandement. Mais c'est un officier plus jeune, plus télégénique, qui est choisi. Lui est relégué à l'entraînement des novices. Un militaire exigeant, violent, intransigeant.
Le décalage intervient quand Fernandez rajoute à l'intrigue une histoire d'amour entre Kataoka et son chef supérieur, la rousse et volcanique capitaine Anderson. Dans leurs uniformes ils tuent, détruisent, sont sans pitié. Mais par ailleurs ils se comportent comme des tourtereaux, roucoulant dans des draps de soie. Le grand écart est maximal...
« La mère des victoires », Delcourt, 12,90 €
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