L’Égypte est la grande passion de Christian Jacq. Sa connaissance de cette période de l’Histoire de l’humanité lui a permis de signer quelques best-sellers. Mais il aime aussi l’Angleterre traditionnelle et les romans policiers à énigme. Il a donc créé le personnage de l’inspecteur Higgins, ancien de Scotland Yard, expert pour démasquer les meurtriers. Dans sa 49e aventure, Les larmes d’Isis (XO Éditions - J Éditions, 224 pages, 14,50 €) Higgins permet à Christian Jacq de mêler polar et culture pharaonique.
Isis Seatwell découvre que son mari, Onnofrio, a disparu. Il participait, la veille, à la fête d’anniversaire organisée par son frère Story. Fugue ou enlèvement ? La police temporise, mais Higgins comprend vite que le couple est fusionnel et que jamais Onnofrio aurait abandonné son épouse adorée, son petit garçon de trois ans et son université privée, basée sur les anciennes connaissances des Égyptiens.
Avec son efficacité habituelle, Higgins va remonter le fil des événements, constatant que nombre de personnages louches ont participé à la fête. Reste deux inconnues : qui a enlevé Onnofrio et surtout, pourquoi ? Si l’intrigue est un peu linéaire, on en apprend beaucoup sur la philosophie des anciens égyptiens.
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