Loin de n’être que des bandits sanguinaires, les pirates représentent aussi une certaine forme de liberté et de démocratie. Ces marins mutinés ont souvent tenté de mettre en place des sociétés égalitaires.
C’est une de ces utopies qui est au centre du gros et remarquable roman graphique de 224 pages écrit par Vincent Brugeas et dessiné par Ronan Toulhoat.
Le combat dans cette mer des CaraÏbes, vers 1718, d’un pirate, Olivier de Vannes et d’une femme noire, n Maryam, reine d’un peuple d’esclaves en mal de vengeance.
« La république du Crâne », Dargaud, 25 €
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