L’association Agir pour l’environnement a réalisé une étude sur les sucreries les plus courantes en France. Résultat elles contiennent toutes du colorant E171. Un nom de code pour désigner des nanoparticules de dioxyde de titane. De minuscules choses au grand pouvoir de nuisance. Selon les commanditaires de l’étude, ces nanoparticules «sont susceptibles de se glisser à travers les barrières physiologiques du corps humain, comme le cerveau, les intestins ou les reins.» Elles s’y accumulent et peuvent à longue échéance provoquer des «dysfonctionnements de l’ADN» voire «la mort des cellules».
Ces conclusions sont cependant à prendre au conditionnel car les instances européennes considèrent toujours que l’E171 ne représente aucun danger pour les consommateurs.
Mais alors, qui croire au final? Dans le doute, je m’abstiens. Pas d’en manger (faites ce que je dis,...), mais simplement, comme expliqué en préambule, d’en offrir aux enfants à Halloween. Je ne voudrais pas, dans 20 ans, être attaqué en justice par d’anciens gamins devenus légumes ou à moitié-zombies en raison d’un abus de dioxyde de titane.
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