A cette occasion, une des fameuses taches s'affiche au centre de l'écran et vous êtes invités à décrire ce que vous voyez. Sur Twitter, Facebook ou Google+, après le mot-dièse #RorschachDoodle, les commentaires déferlent. Chacun apporte son interprétation et la partage. Quelques réponses que l'on peut qualifier de « normales » style un visage, un chat, des nains ou, la plus fréquente, des dinosaures jouant au ballon...
Et puis d'autres plus alambiquées, souvent suivies de la fameuse interrogation (docteur ?). Parmi les plus improbables, relevons « deux coqs en train de picorer une tireuse à bière » ou le torride « des porte-jarretelles en froufrou »... Des milliers d'internautes ont donc tenté d'en savoir un peu plus sur leur inconscient. Mais Google ne fournit pas les conclusions. Contrairement à Hermann Rorschach, pas d'explications sur nos déviances ou inaptitudes à la vie en société.
Enfin, certains plaisantins notamment sur Twitter, en ont pondu quelques bonnes tirades. Selon @Konbini, « Le #RorschachDoodle serait un piège de la police de l'Internet afin de coincer les fous et leur en interdire l'accès à vie. »
[ALERTE] Le #RorschachDoodle serait un piège de la police de l'Internet afin de coincer les fous et leur en interdire l'accès à vie.
— Konbini (@konbini) November 8, 2013
Le mot de la fin à @Zgabou, particulièrement clairvoyant sur le coup : « Je vois... une productivité dans les bureaux en chute de -55%. »
Je vois... une productivité dans les bureaux en chute de -55%. #RorschachDoodle http://t.co/nl8xYGAaPP
— Zgabou (@Zgabou) November 8, 2013
Chronique "Net et sans bavure" parue ce samedi en dernière page de l'Indépendant.
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