Cinq ans que le magicien Niklos Koda avait disparu du rayon nouveautés BD. Son dessinateur, Olivier Grenson a mené quelques projets différents, dont « La douceur de l'enfer » en solitaire. Il retrouve là son scénariste attitré, Jean Dufaux, pour la première partie d'un nouveau cycle. Le héros, de magicien blanc, est passé (en partie seulement), du côté obscur de la magie. Pour sauver sa femme et sa fille, Séleni, il a invoqué l'esprit maléfique niché au sein du 6e livre, le Spiborg, la spirale Borgès. Depuis il glisse vers les ténèbres. Pour mettre fin à ce mouvement, Niklos doit retrouver le livre et le détruire. Il se rend à Shanghai et participe à la vente aux enchères de ce livre très convoité. Niklos y retrouve quelques uns de ses adversaires, anciens nazis et autres mafieux comme l'ennemi implacable Hali Mirvic. La confrontation est violente et sans pitié. Olivier Grenson, après ce long intermède, revient avec un dessin encore plus précis et délicat. Le tout mis en couleur par Bekaert qui signe pour la première fois de son véritable nom.
« Niklos Koda » (tome 11), Le Lombard, 12 €
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