L'UFC Que choisir parle carrément de « communication trompeuse », clouant au pilori des publicités un peu trop belles pour être vraies. « L'étude fait apparaître un décalage entre bon nombre de promesses faites par les opérateurs et les réelles conditions techniques auxquelles les consommateurs peuvent avoir accès » pointe du doigt l'UFC dans un communiqué. Mauvais élèves : Orange et SFR. Bouygues, aux choix techniques différents, s'en tire beaucoup mieux.
Au-delà de la science, les créations publicitaires « too much » prolifèrent. Ainsi ce film où un père, avec son smartphone, filme son fils en train marquer un but d'un retourné à la Zlatan. Avant même que la balle n'atteigne le fond des filets, les internautes voient la vidéo et le gamin acclamé par des milliers de supporters. La parabole est belle (le but aussi), mais faut pas prendre les utilisateurs pour des ignares. A moins que la 4G ne permette de se déplacer dans le temps.
Chronique "Net et sans bavure" parue ce vendredi en dernière page de l'Indépendant
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