Bourré de références aux films de gangsters américains, Mezkal de Kevan Stevens et Jef est pourtant une production 100 % française. 188 pages de violence pure à ne pas mettre entre toutes les mains. Vananka, jeune Américain, se retrouve à la rue.
Le père s’est barré il y a des années, son patron vient de la virer et sa mère, alcoolique, vient de mourir dans une flaque de whisky. Il ne lui reste que sa guitare et son costume. Il prend un bus et file au Mexique. Il croise la route d’une famille d’Indiens dont la belle Leila.
Durant quelques pages c’est une belle histoire d’amour. Mais ça ne dure pas. Entre gangs de Chicanos et Hells Angels racistes, les armes sont de sortie et Vananka va se retrouver au milieu de cette guerre sanglante arbitrée par des policiers menés par un nain encore plus hargneux que les méchants.
« Mezkal », Soleil, 26,50 €
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