Après l'adaptation de « L'assassin royal », les éditions Soleil s'attaquent à un autre gros morceau de la Fantasy made in Robin Hobb : « Les aventuriers de la mer ». Alwett se charge de l'adaptation et Dimat des dessins. A Terrilville, les familles marchandes, après des décennies de prospérité, perdent de l'argent. Pourtant elles ont toujours la meilleure flotte au monde composée de Vivenefs, des bateaux vivants. La proue, en bois sorcier, est vivante et le navire est quasi autonome. Mais la magie ne marche pas toujours. Vivacia est endormie. Elle ne se réveillera qu'à la mort de son propriétaire, le marchand Vestrit, et se mettra au service de son descendant. Une osmose entre Vivenef et humain qui fait tout le sel de cette histoire. Promise à la fougueuse Althéa, Vivacia est finalement léguée à sa sœur, la palote Keffria, mariée au machiavélique Kyle. Le vaisseau vivant va-t-il accepter cette trahison ? Althéa peut-elle se résigner ? La suite est déjà très attendue.
« Les aventuriers de la mer » (tome 1), Soleil, 13,95 €
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