Le 14 juillet, les héros militaires de cette nouvelle série de Bartoll et Guzman ne défileront pas sur les Champs-Élysées. Normal, leur corps n’existe pas officiellement. La cellule dite des « Défenseurs », rattachée à la DGSE (le contre-espionnage français), agit dans l’ombre, uniquement sur ordre du président de la République.
Des missions très dangereuses d’élimination préventive de terroristes sur le point d’agir contre les intérêts de la France, Au nom de la République.
Cette première mission débute en Turquie. Un groupe de Défenseurs est sur le point de neutraliser une cargaison d’armes destinée à Daech. Ils tombent dans une embuscade et meurent tous. En conseil de Défense, décision est prise d’éliminer en priorité cette cellule qui semble vouloir frapper un grand coup médiatique.
Le Renard, agent d’élite, est mis sur le coup. Il va sillonner l’Europe, notamment en Allemagne, pour pister les assassins de ses collègues et amis. Le final se déroule au Maroc. Bartoll, au scénario, apporte toute son expertise d’un milieu qu’il côtoie depuis des années.
« Au nom de la République » (tome I), Soleil, 15,50 €
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