Passer le code c'est répondre à 40 questions sur des situations précises illustrées de diapositives. Un questionnaire à choix multiple. Au-delà de cinq fautes, pas de code. Il est particulièrement facile de trouver des sites « d'entraînement ». Très utiles pour les apprentis conducteurs. Inquiétants pour ceux dont le contenu du fameux code Rousseau n'est plus qu'un lointain souvenir.
Premier test sur www.codeclic.com. On clique sur les réponses, on valide dans la foulée. Le temps de réflexion est limité. Je me souviens des pièges de l'époque. Bien regarder dans le rétroviseur et surveiller le tableau de bord en plus de la route. Deux ou trois questions me déstabilisent. Notamment le nombre de points perdus en fonction des infractions commises. Plein de confiance en moi, je suis sidéré par le résultat. 13 fautes ! Examen raté... Je me console en me disant que j'ai quand même obtenu la moyenne. Second test sur www.passetoncode.fr. Là, c'est la cata. 21 fautes ! Et le site de me demander comme à un vulgaire abruti « Êtes-vous sûr d'avoir bien compris le principe ? » D'accord, je vais réviser...
Chronique "ÇA BRUISSE SUR LE NET" parue ce mardi en dernière page de l'Indépendant.
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