Sur Twitter, les réactions des internautes se révèlent très partagées. Un gros contingent affiche sa nostalgie, « l'humour de notre enfance disparaît ». D'autres en profitent pour se moquer de certains comiques : « Les dégâts collatéraux de l'affaire Carambar. Le prochain spectacle de l'humoriste Arthur est annulé » twitte Didier Porte, toujours aussi vachard avec son « collègue ».
Cette décision marketing possède au moins le mérite de remettre le produit à la pointe de l'actualité. Les nostalgiques ne représentent certainement pas les consommateurs d'aujourd'hui. Les enfants ont beaucoup changé. Si les blagues disparaissent, c'est non seulement parce qu'elles ne font plus rire, mais qu'en plus elles paraissent complètement ringardes à une clientèle incapable de comprendre le second degré.
Enfin, les indécrottables grands enfants pourront se rattraper avec les décalcomanies de Malabar. Même si aujourd'hui on dit « tatoo »...
Chronique "ÇA BRUISSE SUR LE NET" parue ce samedi en dernière page de l'Indépendant.
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