Affichage des articles dont le libellé est larbier. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est larbier. Afficher tous les articles

mercredi 18 janvier 2012

BD - "Les petits Mythos" des Dieux en devenir par Cazenove et Larbier



La mythologie grecque est décidément une source inépuisable pour les scénaristes de BD. La richesse des personnages, les péripéties des uns et des autres, la petite histoire dans la grande : c'est une mine inépuisable. Nouvelle preuve avec « Les Petits Mythos », une série humoristique écrite par Cazenove (gagman redoutable de l'écurie Bamboo) et Larbier, dessinateur au trait dynamique faisant parfois penser à celui du regretté Claude Marin (Les bébés Disney). En Grèce, quelques enfants espèrent devenir des dieux. Si pour certains, un talent exceptionnel leur permet de rêver (Aphrodite, Midas, Hercule...), pour d'autres ce sera plus compliqué. Notamment pour Totor le Minotaure, personnage le plus utilisé dans ce premier recueil. Le plus comique aussi. Il pourrait vite devenir le dieu de l'humour. Mais pas des gaffes, Gaston occupe déjà le poste depuis des décennies...


« Les Petits Mythos », Bamboo, 10,40 €


vendredi 29 septembre 2006

BD - Rions avec nos amis belges...


Après le succès des Blagues de Toto, découvrez dans la même veine les blagues belges mises en images, dans un style gros nez très maîtrisé, par Eric Dérian et Philippe Larbier. A la collecte de ces fameuses histoires qui ont fait le succès de Coluche et de nombre de pilier de bar on retrouve un Belge, un vrai, Luc Parthoens qui signe sous le pseudo de Pluk. Luc Parthoens a fait toute sa carrière au studio Peyo, c’est lui qui a repris l’encrage des plus récents des albums des petits lutins bleus. En couverture le manneken piss et Jes, un des deux Belges de base récurrents dans ces histoires qui ne brillent pas pour leur originalité. Avec son copain Jos, par exemple, ils partent en forêt couper un sapin pour la Noël. Et ils en cherchent un, en vain, avec les boules. Où quand Jos se ruine à vider un distributeur de boisson se justifiant par un « Moi, tant que je gagne, je joue ». Certes cela ne vole pas très haut mais on ne peut s’empêcher parfois de sourire à la bêtise de ces personnages. Eric Dérian, sur son blog, aux lecteurs critiques lui reprochant de s’être « vendu au grand capital » répond : « Je m’en fous parce que je vais être riche. L’étape suivante c’est maître du monde !!! » Une fois, serait-on tenté de rajouter… (Delcourt, 9,80 €)