De toutes les séries imaginées par le scénariste Jean Dufaux, Djinn est celle où il a poussé le plus la problématique de l'interdépendance de l'homme et de la femme. Quand l'amour se transforme en une drogue aveugle, la passion poussant au crime ou au sacrifice. Des sentiments exacerbés et magnifiés par les dessins d'Ana Mirallès.
Le septième tome de cette série sensuelle et charnelle débute en Afrique. Un aventurier est capturé par les guerriers Orushi. Il est présenté à la déesse Anatku. Une jeune femme, le corps recouvert de peinture, droguée, ne se souvenant plus qu'elle s'appelle en fait Jade et qu'il était venu la rechercher à la demande de Miranda Nelson, noble anglaise prête à tout pour retrouver les faveurs de son ancienne maîtresse.
Un album plein de tam tam, de déclarations d'amour et de fiers guerriers.
« Djinn », Dargaud, 11 euros
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